jeudi 17 février 2011

Murmures d'Outre-tombe =1=

Murmures d'Outre-tombe
" Depuis que j'ai survécu à la foudre, je suis capable de sentir et de revivre les derniers instants des morts. Contrairement aux apparences, cela peut s'avérer utile : on me contacte pour retrouver les personnes disparues... enfin, décédées devrais-je dire. Du coup, j'en ai fait mon métier. C'est sûr, tout le monde n'apprécie pas la façon dont je gagne ma vie mais, puisque je dois vivre avec ce "don", autant m'en servir. Tolliver, mon demi-frère, m'accompagne. Un associé dont je ne peux me passer. Aujourd'hui, nous allons à Sarne dans l'espoir de retrouver une adolescente. Dénicher le corps ? Facile ! Mais quitter la ville, c'est une autre affaire ! "(Amazon)

Une histoire qui nous surprend tellement elle est différente de ce que j'ai connu avec La communauté du Sud. Un rythme différent, une ambiance macabre (forcément, Harper retrouve les corps des morts et parvient à déterminer la cause du décès)... on y ressent aussi beaucoup de solitude, on découvre des vies brisées.
Personnellement, je n'ai pas retrouvé LA Charlaine des vampires et c'est ce qui démarque cette histoire de l'autre.
C'est un livre qui se lit relativement facilement, petit bémol concernant les personnages et leur lien : on s'y perd un peu ^^

Ma note : 3/5

vendredi 11 février 2011

Mozart (tome 2) Le fils de la lumière

D'abord, une symphonie, puis une sérénade... Mozart ne cesse de composer, comme si son existence en dépendait. Mais cette liberté affichée déplaît profondément à son employeur, le prince-archevêque de Salzbourg qui ne supporte que l'obéissance. Alors le jeune musicien rebelle décide de s'évader définitivement en s'installant tout seul à Vienne, où il va rencontrer enfin la femme de sa vie, Constance Weber. De son côté, Thamos, le fidèle compagnon de l'artiste, tente avec quelques amis de former une véritable Loge capable de transmettre les rites maçonniques inspirés des Grands Mystères égyptiens à son protégé. Ce n'est pas sans danger, car le pouvoir en place apprécie peu ce qu'il prend pour les prémices d'une révolution. Mais Mozart ne renonce jamais, et devient Apprenti Franc-Maçon à vingt-huit ans. La Lumière est en lui, Les Noces de Figaro s'annoncent... Christian Jacq nous révèle les liens étroits que Mozart entretint avec la Franc-Maçonnerie et nous raconte l'aventure spirituelle et la vie secrète de l'un des plus grands génies de l'Histoire. (Amazon)

J'ai trouvé ce 2e tome un peu long mais néanmoins intéressant; Mozart est un travailleur acharné, il compose nuit et jour dans l'espoir de réussir un jour à se faire reconnaître en tant que tel. Il ne parvient pas à trouver le librettiste qui lui convient. Il rencontre Constance dont il tombe amoureux assez rapidement. Ils ont du mal à faire accepter leur union mais ils y parviendront.
Parallèlement, il est soutenu par la Franc-Maçonnerie à son insu. Quant à elle, elle est toujours persécutée et épiée. 
Ce n'est qu'à la fin du livre qu'on assiste à l'initiation de Mozart... un bel avenir devrait se profiler à l'horizon.
Je lis et j'écoute en même temps ses morceaux. C'est vraiment plaisant de se construire une telle ambiance. C'est ainsi que que plaisir et découverte se conjuguent.

Ma Note: 2,5/5

lundi 7 février 2011

Deux Femmes de Martina Cole

Quatrième de couverture :  


Dans l'East End, banlieue sinistrée du sud-est de Londres, le danger et la violence sont l'ordinaire. Susan y joue des seules armes dont elle dispose : l'humour et l'amour infini qu'elle porte à Barry, son mari, le caïd à la gueule d'ange. Mais Barry ne sait pas l'aimer, et la frappe à la moindre contrariété. Un soir, dans un acte désespéré, Susan lui fait éclater le crâne à coups de marteau. Sa seule certitude, c'est d'avoir protégé ses quatre enfants d'un monstre. Eux, au moins, lui auront échappé. On la transfère dans la cellule de Matilda Enderby, meurtrière elle aussi. Les destins de ces deux femmes vont se nouer à jamais. Personne n'aurait pu prédire quelles conséquences aurait leur rencontre...

Eh bien, je ne suis vraiment pas mécontente d'avoir été jusqu'au bout malgré la grande difficulté éprouvée une grande partie du début de l'histoire (en gros 300 pages)
Le vocabulaire employé est insoutenable malgré qu'il reflète bien l'ambiance des bas-quartiers défavorisés de Londres, là où les femmes survivent à la violence de leur mari et les hommes s'embringuent dans la violence la plus misérable qui soit. Tuer, violenter, frapper à mort n'est plus un secret, même la police n'en fait peu de cas.
Susan est la soeur aînée d'une de ces familles, paumée, elle va à l'école, elle aime lire (ce qui est peu commun apparemment dans cette société)... elle a une mère qui batifole, un père qui boit, la frappe et... abuse d'elle.
L'envie de se sortir de cet enfer la démange. Elle rencontre un garçon, plutôt beau gars, qu'elle épousera quelques années plus tard. Son mari n'est finalement pas meilleur que tous ces hommes qui se croient supérieurs à la gent féminine. Tout leur est accordé, bien évidemment. Il la maltraite, la prend quand ça lui chante, la bat, lui fait 4 gosses qu'elle va adorer et protéger comme elle peut jusqu'au jour où... ça dérape.
Elle se retrouve en prison pour meurtre...
Je pense quand même que toute cette grossièreté, vulgarité, aurait pu être évitée... la dernière partie du livre, le dénouement de l'histoire, est beaucoup plus soft.
J'ai quand même galéré, ce fut de la souffrance cette lecture (maso, moi ? euh... non, pourtant)
Donc voilà... j'en sors saine et sauve mais pas tout à fait indemne car c'est une histoire qui laisse des "séquelles" mine de rien...

Ma note :  0 pour le style d'écriture mais 4/5 pour l'histoire

Jiazoku = Maëlle Lefèvre

Kabuchiko, le quartier le plus dangereux de Tokyo, territoire des yakusas. Daisuke, membre du redoutable clan Kobayashi, dirige un vaste rés...